Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (133)

Nous sommes partis de Villerville vers Paris laissant la corvée de récupérer ma moto à Corentin que j’ai laissé en panne sèche sur la plage.
Nous avons pris le chemin du retour et nous sommes sur l’autoroute.
À un moment je sens la moto ralentir.

• Rien à craindre, je fais souvent la route et nous allons passer devant l’un de leurs nouveaux radars, ces putains d’engin nous flash par l’arrière et ils peuvent voir nos numéros de plaques.
• J’ai vu les deux premiers nous ayant flaché depuis notre départ.
• Ceux-là prenne de face, je vais m’arrêter au relais vers Mantes-la-Jolie il faut que je boive un café.
• J’allais te le demander j’ai envie de faire pipi, est-on loin de Paris ?
• 50 kilomètres, nous avons fait les trois quarts du chemin il y en a 200 entre Honfleur à mon immeuble.

Peu après arrêt près de la porte de la pompe à essence, je file vers les toilettes.
C’est la première fois que je dois descendre ma combinaison en urgence et je manque de faire mes besoins à l’intérieur avant de libérer ma chatte et de pisser divinement.

• Ça va, assumes-tu ?
• C’est dur mais cela va tenir, je crois que c’est l’eau que j’ai avalé qui m’a fatigué.
• À ta santé Livia a quand la prochaine.
• Après ton permis, je baiserais tu conduiras au retour.
• J’adore je vois que tu prends goût à la bite des garçons, mais je t’en supplie continue de t’occuper de mon vagin de temps en temps.
• Arrête de dire des conneries en route je vais apprécier mon lit.

Nous arrivons près de notre moto, deux gendarmes sont à son côté.

• Vise l’engin, le mec qui conduit un tel engin doit être vachement baraqué, c’est le top que les constructeurs ont fait à ce jour, ces pas avec ma solde que je vais pouvoir me payer un tel engin.
• Quand je te dis de faire de là compétition, tu pourrais être détaché et entrer dans un team.
• Vous voulez m’acheter ma moto, le nouveau modèle va sortir dans quelques jours.

• Livia que fait tu là, j’aurais dû me douter qu’une telle machine c’est toi qui la conduit, comment cela va, tu as laissé les circuits.
• Il faut bien Noël je vieilli, je me suis recasé dans le tout terrain et ma copine et moi nous préparons le Touquet en Février.
• Et toi tu as repris les motos de service.
• Oui après ma chute j’ai perdu ma licence de course, j’ai retrouvé la gendarmerie et je fais équipe avec Étienne un bleu tout frais sortis de l’école de police.
• Bonjours mesdames deux blondes sur un tel engins quand j’en parlerais à Baudouin il dira que je suis un menteur.
• Livia, tu te souviens à par toi je sautais tout ce qui avait un joli petit cul sur les circuits, ils m’ont m’y un gay comme coéquipier tu vois la galère, dès qu’il en sent un il le drague, par moment je me demande si moi aussi je dois virer ma cuti.

Elle ouvre sont portefeuille qu’elle a pris dans sa malle pour aller boire le café.

• Je suis heureuse de t’avoir revu, prends ma carte et téléphone-moi ont se fera une bouffe.
• J’ai une idée, si ont faisait la course jusqu’au péage, je pourrais tester le puceau et voir si j’ai perdu la main.
• Ok, le premier arrivé attend les autres.
• J’ai un handicape nous sommes deux mais je vais une nouvelle fois te mettre la pâtée, souvient toi sur les circuits quand tu suçais ma roue arrière et que tu finissais deuxième c’est ma chatte que les belles filles venaient sucer et non un louseurs finissant deuxième.

Nous sommes prêtes et rapidement j’ai la peur de ma vie car je croyais Livia pilotant à fond depuis notre entré sur l’autoroute mais j’étais loin du compte, les panneaux donnant le kilométrage jusqu’à notre Dame point 0 des routes de France défile si vite qu’il m’est impossible de savoir à combien de Paris nous sommes.
Bien sur quand elle décélère nous nous arrêtons les premières devant les marches de la gendarmerie.

• Bonjour mesdames, c’est la première fois qu’un conducteur ayant été radarisé à plus de 300 à l’heure vient directement ici se faire retirer son permis de conduire moto, veuillez me suivre dans mon bureau.

C’est la mouise, mais ou sont Noël et Étienne, merde nous roulions aussi vite que le TGV.

• C’est bien Lieutenant vous les avez attrapés, il faudra que vous demandiez à nos supérieurs de gonfler un peu nos moteurs, car ces chauffards même si elles sont blondes sont sans limite.
• Je peux téléphoner ?
• Elles vont nous faire le coup de la personne haute placée qui va nous dire de les relâcher.
Bon Livia nous avons assez rit avec le lieutenant.
• Nous y voilà vous allez nous demander de nous enlever nos combinaisons pour nous mater.
• Livia, détend toi, on a assez ri car si nos motos son bien moins puissante que la tienne nous avons des radios qui fonctionnent très bien et j’ai prévenue le lieutenant de votre arrivée.
Il suivait ma carrière mais aussi par conséquence la tienne et a voulu te connaître, les nuits sont longues ici et avoir une vedette de la moto s’est rare, lieutenant servez-nous un café.

Il nous offre des tasses comme à la maison et nous passons de l’un à l’autre pour dialoguer.
J’ouvre mon sac à dos, le lieutenant est bandant et je remarque l’absence d’alliance.

• Lieutenant voici ma carte, si vous téléphonez, je serais arrangeante sur mes tarifs.
• Lieutenant, Noël a oublié de vous dire que son chef s’appelait Florent.
• Comme le chanteur.
• Reprenez votre carte, si vous saviez depuis qu’il est devenue célèbre c’est un enfer.
• Garde ma carte, j’ai un copain qui s’appelle Christian.
• Comme Cri-Cri d’amour.

Nous éclatons de rire, Livia viens vers nous, je m’éclipse pour me rapproche de Noël qui est un instant seul.

• Noël, Livia t’a donné son numéro de téléphone, appelle là tu pourrais avoir des surprises.
Pagny, pardon Florent sommes-nous libres, Livia doit se lever de bonne heure, j’allais dire demain matin, mais je dois dire tout à l’heure.
• Bonne route mesdames, attention à votre vitesse, nous veillions.

Il nous dit cela mettant la main sur la poche ou il a mis ma carte, nous tournons les talons, pardon les bottes.

• Messieurs passez dans mon bureau je vais vous parler de la vitesse de vos motos.

Nous repartons, Livia me dépose à l’institut, je change mes chaussures et je reparts vers Chennevières, la côte de Champigny est un calvaire même si elle est courte mes yeux ayant tendance à se fermer tous seuls.
J’entre il est quatre heures du matin, quand je rejoins Katia et Ophélie qui dorment dans mon lit, je les vois grâce à mon radio réveil mais au sol je donne un coup de pied dans quelque chose.
Je tâtonne et je trouve les billets et les pions du Monopoly, marraine a tenu parole et elles devaient une partie en cour.
J’enlève ma combinaison, je ferme la porte de la salle de bain ainsi que celle de Valérie, j’ai le temps de voir qu’ils dorment tous les deux ma copine la main sur le sexe de Vladimir, j’ai presque envie de venir dans sa fourche qu’elle me montre ses jambes étant un peu écartées.
Mais il faut aller me laver ma propre chatte car je prends conscience qu’à 300 kilomètres heures j’ai mouillé comme jamais.

• Christine enfin tu te réveille, il est midi, lève-toi, nous avons préparé à manger avec Ayu, Fabienne va arriver avec Chantal et Aliou, dit donc tu joue au foot avec le Monopoly, dommage Vladimir allait perdre sa chemise.
• Vous avez joué avec Vladimir en intéressant la partie.
• Bien sur c’était plus drôle.
• Et l’enjeu ?
• Nos pucelages contre un séjour de 3 jours chez lui à Moscou.

Je dois être décomposé à constater autant d’insouciance.

• Encore gagné Ophélie, regarde la tête qu’elle fait, tu as aussi peur de prendre l’avion demain que Christine si nous avions fait des bêtises avec nos petits capitales.
• Les filles sauvez-vous, j’arrive, vous craignez plus pour vos fesses que pour votre petit pactole.

Je me lève dr dans ma nudité et je passe dans la cuisine, Ayu est là qui fait cuir des pâtes comme sa maman lui a appris à les préparer avec beaucoup d’épices, je l’embrasse et je continue mon chemin.
Le toit de la piscine est ouvert l’été indien étant parvenu jusqu’ici l’anticyclone ayant assez grossit.

• Bonjours à tous, je me baigne et j’arrive.

Je plonge et je fais des longueur, Valérie se trouve au pied des marches, après quelques longueurs et je compte bien en profiter pour lui demander quelques explications sur Fred et Fred parents de Livia ce qui m’a été caché.

• Christine téléphone, ton portable que tu as laissé sur la table à sonner, un monsieur te demande en urgence.

Je sors de l’eau enfile un peignoir pour me sécher, pas pour me cacher et je vais dans ma chambre pour m’isoler.
C’est mon portable personnel qui a sonné.

• Christine, c’est Lionel, j’ai réfléchi à notre rencontre, j’ai failli appelé sur le numéro au verso de ta carte mais mon appelle concerne Livia et non Magali, peut-on se voir Vendredi ou Samedi je serais sur Paris.
J’ai rendez-vous à l’archevêché et nous pourrions dîner ensemble, je te dois un repas, je voudrais te parler de Livia et je souhaiterais être le premier à le faire, si tu vois Valérie pas un mot, je dois assumer mes responsabilités et j’aurais besoin que tu m’aide.
• Coup de chance Lionel je suis à quelques mètres de Valérie qui est dans la piscine quand la petite est venue me dire que l’on m’appelait, j’allais lui parler, ok je vais me taire et attendre de te rencontrer.
Vendredi 20 heures, laisse-moi l’adresse sur mon portable, je serais à Moscou pendant trois jours.
• Je vois, pendant trois jour Natacha va voyager, je prierais pour toi, pour finir dit-moi, j’ai aimé l’accent chantant de la jeune fille qui a répondu, j’espère que tu me la feras connaître elle me rappelle des souvenirs.
• Sans problème mais tu sais dans nos pavillons à Chennevières nous sommes souvent nues hommes et femmes prêt de la piscine.
• Tu sais il existe des lieux qui s’appelle des camps naturistes ou au mois de juin je vais faire la messe et derrière moi quand j’officie de nombreuses chattes et verges sont à ma vue chaque fois que je me retourne.
• Je vais tous vous avouer mon père puisque je suis à confesse, ces verges et ces chattes dans ton office tu dois rarement pour dire jamais les voir s’emboîter.
• Ma fille vous me direz 20 Paters et 100 Avés avant vendredi.

Il raccroche, je crois que j’aime de plus en plus la religion vu par l’œil de Lionel…